Dans un monde de plus en plus incertain, où tout s’accélère. Le travail n’échappe pas aux bouleversements. Envie de changer ? D’envoyer tout balader ? Est-ce la meilleure solution pour se sentir mieux ?
Et si vous repreniez déjà la main, ici et maintenant, sur ce qui est en votre pouvoir ? Réaménager est moins coûteux que… déménager !
C’est ce que nous vous proposons de venir travailler avec nous dans cet atelier SITU’ACTEUR, 3h en petit groupe de 8 participants maximum, animé par Laurence Maudru. Ouvert à tous !
Les nombreuses transformations du monde professionnel aujourd’hui, occasionnent une modification de la place de celui-ci dans nos vies et d’importantes dégradations des situations d’emploi : perte de sens, ennui, sentiment de non épanouissement, mal être, souffrance, burn-out, etc.
Force nous est de constater, que ces changements produisent de nombreux effets sur nos parcours professionnels, dont celui, important, de vouloir en changer.
L’atelier SITU’ACTEUR a été construit dans le but, de poser un préalable à cette volonté d’un grand bouleversement, d’une révolution, dans son parcours professionnel.
L’atelier, par sa méthodologie et ses outils, veut vous permettre de reprendre la main, sur ce qui peut l’être, en essayant d’introduire de petits changements, d’entreprendre des réajustements, bref de reprendre le contrôle sur un certain nombre de paramètres. Rendre possible, le fait de retrouver un impact sur ce qui vous arrive.
Tarifs : plein 150€ ; réduit (demandeurs d’emploi, RSA) 90€ ; spécial anciens clients 75€
Ici, pas de solution miracle ou magique, mais une démarche réflexive qui vous permette de prendre le temps de réfléchir à ce qui est important pour vous, ce à quoi vous tenez, bref de clarifier ce qui compte pour vous. Cette délibération faite vous permettra, de repérer ce que vous pourrez faire évoluer, ce qui peut être bouger, ce sur quoi vous pouvez agir ici et maintenant.
Vous repartirez avec vos clés, que vous aurez construites :
· ce qui vous est possible ici et maintenant, c’est à dire ce que vous pouvez tenter, étant donné ce que vous êtes, ce à quoi vous aspirez et les enjeux en présence.
· en tenant compte, bien sûr, du milieu professionnel où vous évoluez, tel qu’il est.
· et en gardant à l’esprit ce qui importe actuellement.
Car il n’y a pas toujours besoin de tout changer pour qu’une situation brouillée, dissonante, soit plus supportable. Souvent il suffit juste de trouver ce qui est désaccordé, afin d’essayer de faire le nécessaire, de déterminer comment agir, pour retrouver l’équilibre.
En bonus, une jolie vidéo de laquelle nous avons tiré cette citation et qui nous apprend que dans la vie, nous passons la majeur partie de notre vie à travailler. alors : “Trouve un travail que tu aimes, ou trouve plus d’amour pour ton travail”. Cette phrase reflète avec simplicité ce qui est à l’œuvre dans notre atelier
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Voici en guise de conclusion le témoignage d’Audrey qui nous partage ici son cheminement. C’est un exemple parfait d’illustration de nos propos.
Comment j’ai retrouvé le métier que j’aime
par Audrey
« Il y a un an, j’ai entamé l’aventure du bilan de compétences au sein du cabinet A La Croisée des Chemins. Comme beaucoup, j’y ai été amenée car j’avais la sensation de ne plus être à ma place dans mon poste, j’étais à la recherche d’un « autre chose », d’autre défis, d’une autre place.
Mon bilan m’a permis de faire le point sur mes compétences, c’est tout de même son but premier, mais aussi de prendre du recul.
J’étais enceinte durant cette période, j’ai donc cumulé le fait de faire mon bilan et de me détacher à la fois sur mon emploi et mon lieu de travail ; double bénéfice au final.
Comme beaucoup, mon attente était forte sur l’issu de ce bilan, la solution magique allait forcément être trouvée, c’était une évidence. Mais nos accompagnatrices ne sont pas magiciennes, par contre, elles sont de bons guides pour cheminer.
Mon cheminement s’est fait sur plusieurs niveaux : professionnels et personnels. Pourquoi je veux changer de métier ? Quel impact cela a-t-il ou aura-t-il sur ma vie personnelle et ma vie familiale ?
Il y avait une évidence, que je n’ai jamais caché durant tout mon parcours, j’aimais ce métier que j’avais choisi au départ, et que je n’arrivais plus à exercer avec passion.
A mon tour de travailler et de comprendre pourquoi ce métier que j’aimais, qui comme tout métier a ses points positifs et ses points négatifs, était soudain devenu mon « travail qui paye le loyer » ?
Un problème d’établissement/d’entreprise ? je crois que ce problème est sous-jacent à tout métier et tout lieu, il suffit d’un changement de responsable dans une structure pour que tout change… donc changer de métier ne changera pas cette difficulté.
Même constat avec les collègues. Je travaille dans le médico-social, le turn-over est important, et il faut faire avec cet état de fait, là aussi je ne pourrais pas y changer grand-chose.
Finalement, le problème ne vient-il pas de la façon dont j’investis mon poste ? Des limites réelles ou imaginaires que je me fixe ?
Une fois que j’ai eu cette révélation, mon état d’esprit à changé. Une nouvelle question s’est alors imposée à moi : comment changer mon paradigme de travail ? Comment redevenir actrice dans mon monde professionnel ?
J’ai eu la chance d’être en congé maternité pendant cette transition, et d’avoir un peu de recul pour appréhender tout ça.
J’ai alors réfléchi sur ce métier que j’aime, et ce que je veux voir figurer dedans ; ce qui m’a amené à faire ce choix initial tant de mon métier, que de ma spécialisation ensuite. Je me suis ensuite demandé ce que je pouvais apporter en plus dans mon travail, à mes collègues, à mon établissement, comment être force de proposition pour faire évoluer les choses ; finalement redevenir actrice dans mon travail et ne plus le subir.
Bien évidemment, ce n’est pas un conte de fée, les journées sont très inégales, et certains jours il est bien plus facile de retomber dans les travers passés, et avoir envie de baisser les bras.
Car oui le changement est possible, bénéfique, et vraiment c’est agréable de retrouver l’envie d’aller travailler ; mais le changement est aussi long, difficile et épuisant, car dans le milieu du travail, nous allons tous à des vitesses différentes, le fait d’avoir envie de changer n’est pas toujours compris par les autres, qui ont l’habitude de vous voir dans une case, et qui ont tendance à vous y remettre en permanence. C’est dans ce sens qu’il est fatiguant de choisir le changement, mais ça en vaut la peine.
J’ai repris le travail depuis quelques mois avec cette nouvelle optique, une nouvelle énergie, qui questionne et interroge, mais qui amène également d’autres collègues à se poser la question : qu’est ce que je peux changer à mon niveau pour améliorer les choses ? Comment puis je devenir force de proposition et ne plus attendre que quelqu’un d’autre trouve la solution à ma place ?
Malgré des journées difficiles, je peux dire aujourd’hui que j’ai retrouvé mon métier que j’aime, et j’avoue que lorsque j’ai commencé mon bilan il y a un an, si on m’avait dit que je resterais à mon poste dans l’établissement que je souhaitais quitter… je n’y aurais jamais cru. »